L'Art dans notre vie quotidienne.

Ukraine.

Semaine bizarre. Pour l'Ukraine, on sait sans rien savoir de ce qu'il se dit dans les échanges Poutine/Trump. De drôles de négociations. On ne sait pas qui parle avec qui. Après l'altercation télévisée du bureau oval entre Zelensky et Trump, les voilà qui se parlent gentiment à Rome à l'occasion des funérailles du Pape Paul VI. C'est du cinéma. Avec Trump, on ne s'attend pas à autre chose.

Pendant ce temps Poutine continue à frapper l'Ukraine. La guerre, les destructions, les morts, ensuite viendra la paix et l'oublie. Dans le meilleur des cas. Il existe cependant des mauvaises paix qui produisent l'envie de reprendre ça. La guerre de 14/18 est de celles-là.

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Gaza.

La guerre s'enfonce un peu plus dans l'horreur. La cité de vacances et de loisirs envisagée par Monsieur Trump s'échappe. Plus personne n'y pense. Restent aujourd'hui, les décombres, les morts la faim, le Hamas, l'autorité palestinienne et la paix à rechercher, toujours et toujours....

Je ne sais plus quoi dire. Ce qui me trouble particulièrement en ce moment, ce sont les Houthis qui rentrent dans la danse.

Le Yemen est en pleine guerre civile depuis des années. Plus une des affrontements permanents avec les Etats Unis et l'Arabie Saoudite. L'ONG "Humain Right Watch" a rapporté de nombreux cas de tortures et de crimes contre l'humanité qui sont toujours les mêmes, surtout auprès des femmes et des enfants.

Alors que ce pays qui manque de tout, il lance des attaques contre Israël et les navires commerciaux qui empruntent la Mer Rouge pour rejoindre le Canal de Suez. Les Américains, depuis l'arrivée de Donald Trump réagissent et intensifient leur frappent contre le Yemen contrôlé par les Houthis. Une fois encore, un grand pays,  au passé somptueux, va vers sa destruction parce que c'est un pays pauvre, qui ne peut qu'être qu'instrumentaliser par une puissance extérieure.

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Nouvelles du Front.

Cannes est calme. J'attends le Festival de Cannes. Je n'ai pas trop le temps de traîner dans les rues à la recherche d'une occasion pour voir un film et fréquenter les festivaliers. Je n'ai pas trop le temps pour ça. Je suis content que le Festival existe, pour le cinéma, le développement de la culture. Le cinéma est notre littérature comtemporaine, différent des mots, mais proche.

Toujours beaucoup de monde à Cannes. Le soleil attire. Les humains ont besoin de lumière, de chaleur, et, ici, on a une large luminosité que certains nomment le bleu de la Côte d'Azur.

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