Réagir à temps pour ne pas prendre un bouillon.
13 mars 2021Qu'allons nous faire de cette jeunesse désœuvrée ?
Ils n'ont pas pas 18 ans. Ils ne savent rien de la vie qui les attend. Et les voilà qui s'entretuent à coup de pieds et de barres de fer. Quand ils ne jettent pas à l'eau d'autres jeunes pour de futiles raisons.
Nos démocraties en voulant trop bien faire sont devenues liberticides. La jeunesse n'aime plus la réflexion, la compréhension du bien et du mal. Elle est devenu ringarde. Ce sont les codes des réseaux sociaux qui donnent le la de nos jours. On jeunes ont la main sur leur smartphone comme les cow-boys avaient la main sur leur revolver. La France n'est pas seule à avoir des soucis avec ses jeunes. L'Angleterre connait aussi des attaques au couteau sans précédant. En France tous les jours on nous parle d'un jeune ou d'une jeune, victime d'une attaque par des jeunes. Hier soir c'était une jeune fille de 14 ans qui a été agressée et jetée dans la Seine qui est morte noyée. Et ils s'en prennent régulièrement à la police. L'autre jour un jeune a fait l'imbécile sur la voie publique avec un scooter au nez et à la barbe de la police qui chercher à l'interpeler. Le jeune prend la fuite et se blesse grièvement. constate le comportement dangereux de l'individu et cherche à l'interpeller, l'autre prend la fuite et se blesse sérieusement. Il s'en suit une réaction violente des jeunes du quartier qui rendent la police responsable.
Dans certains quartiers, habités par des familles qui ne reconnaissent pas facilement les lois de la République, La police peine à faire respecter la loi. C'est sans fin. Comme ils ne reconnaissent pas notre justice, ils estiment vite qu'ils doivent obtenir réparation par la violence et la destruction de mobiliers urbains ou d'automobiles.
La police et les enseignants sont les premiers à souffrir de cette situation. La police hésite avant de se rendre dans certains quartiers "chauds", et les enseignants ne savent plus quoi enseigner devant des enfants de 13, 14 pour éviter le moindre mécontentement dans la classe qui pourrait les mettre en difficulté et en danger. Il est devenu très difficile d'enseigner les fondamentaux de la liberté et de la tolérance.
Il est maintenant grand temps de réagir, même si cela fera grincer des dents quelques intellectuels qui trouvent toujours de bonnes raisons de justifier la violence de cette jeunesse qui a perdu les pédales.