Kaliningrad qui s'appelait Köningsberg jusqu'en 1946.

    Je découvre qu'il existe une enclave russe entre La Lituanie et la Pologne qui s'appelle oblast de Kaliningrad, depuis 1946.  Il n'y a aucun accès entre ce territoire russe et la Russie. Cette enclave rencontrerait des difficultés économiques depuis la chute de URSS. La Pologne s'inquiète, même protégé par les troupe de l'Otan, elle n'est pas rassurée. Vladimir Poutine n'est pas un homme de paix. On peut difficilement penser autre chose depuis l'invasion de l'Ukraine.

Sinon la guerre continue avec ses victimes. Le Ukrainiens résistent bien à l'avancée des Russes. Comment l'Europe et l'Otan peuvent-ils continuer à aider l'Ukraine sans provoquer une escalade de la guerre. Tout le monde s'inquiète, Poutine a attaquer l'Ukraine, pas pour un petit bénéfice. Il veut plus. Tant que l'on ne l'arrêtera pas, il continuera. Qu'est-ce que l'Occident peut faire face à ce forcené ? Que va faire la Chine ? La Chine reste très discrète sur ces intentions. Je ne suis pas étonné, comportement très chinois !

Jim Harrison.

    Dimanche matin, j'ai vu, en avant-première Seule la terre est éternelle,  un documentaire réalisé par François Busnel (La Grande Librairie) dans un cinéma de cannes. J'ai jamais vraiment accroché avec François Busnel. Je ne pourrais pas dire pourquoi. C'est peut-être à cause de mon attachement à l'émission de Bernard Pivot, Apostrophe. 

   Bref, il y a quelques années déjà j'ai connu par la télévision Jim Harrison, un auteur américain qui me faisait penser à Falkner, Mailer et surtout surtout Charles Bukowski. Je savais qu'il habitait dans l'Arizona. En 2009, quand j'ai voyagé dans l'Arizona, je suis allé jusqu'à Patagonia où habitait Jim Harrison.. Je n'ai pas osé jusqu'à frapper à la porte de l'écrivain. Je savais déjà qu'il ne me recevrait pas, je n'avais lu aucun livre de lui.

   Le documentaire de Busnel est bien. Je n'ai pas vu le temps passer, j'ai écouté parler tout simplement Jim Harrison. Il vivait les derniers mois de sa vie. Il a longuement parlé de sa vie, des indiens, et de la nature.  

   François Busnel était impeccable dans les réponses qu'il a fait aux intervenants dans la salle. Il donnait l'impression qu'il connait la littérature américaine et Jim Harrison. J'ai acheté un livre que Busnel a dédicacé, La recherche de l'authentique.

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