Le temps du présent. Je ne suis pas encore complètement remis de la visite de mes amis à Cannes. Je crois que je fais trop de choses. J'ai encore prévu de prendre une nouvelle intervention à la résidence, sur les proverbes, cette fois-ci. Je vais analyser "La laitière et le pot au lait" et d'autres proverbes suggérés par le groupe. En fait ces interventions ressemblent plus à une conversation entre amis. Un peu plus formelle, c'est tout. Je dois tout de même faire attention à ne pas me surmener. A 80 ans, on est vite surmené. C'est comme ça, le grand âge !

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Ce que j'ai vu de l'actualité cette semaine. En plus des différentes guerres en cours. C'est la mort de Robert Badinter. La mort d'un très grand. Je ne retracerais pas ici son parcours sans faute. Il a vécu, avec son épouse, Elisabeth Badinter, a rendre plus vivable la vie sur terre pour tous les hommes. Il a demander au parlement la fin de la peine de mort, contre l'avis général du peuple français qui voulais maintenir la loi du talion. En France, c'était d'autoriser la justice française à  couper un homme ou une femme en deux. Il faut reconnaitre que ce même peuple français a voté pour François Mitterrand qui a clairement écrit et dit dans son programme qu'il présenterait une loi pour abolir la peine de mort.

C'est comme cela. Le peuple est majoritairement pour la peine de mort mais vote pour un candidat qui est contre. La balance de la démocratie a été en faveur de François Mitterrand cette fois-ci.

Roger Badinter et Elisabeth Badinter ont consacré leur vie à l'amélioration de la vie des êtres humains. C'est énorme, même si il reste encore beaucoup à faire.

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