Shanghai.  Comme mon aventure de  Guangzhou, l'arrivée à Shanghai n'a pas manqué de sel. Le plan que j'ai trouvé sur l'agence de voyage sur internet ne m'a pas vraiment aidé. J'ai commencé ma marche, après 20 minutes, j'ai renoncé pour revenir à l'aéroport pour me faire aider par le service de tourisme. C'était assez clair, mais comme des indications étaient en anglais, il m'a fallu trois heures pour rejoindre mon hôtel. Des informations avaient été données dans le métro en anglais. A cause du bruit et de l'accent chinois, je n'ai absolument rien compris. Comme dans les autres villes de Chine, j'ai été sauvé par une Chinoise qui parlait anglais. Elle avait visité les Etats Unis et la France. J'ai reçu aussi l'aide d'une Chinoise qui avait séjourné en Afrique du Sud. En Chine, je suis comme "The Invisible Man" de HG Wells. L'homme qu'on ne peut pas voir. Mon hôtel est correct. La réception est moderne, je dis moderne parce que l'hôtel est équipé d'un enregistrement facial, comme dans les aéroports et les rues. Je suis maintenant identifié partout où j'irai. L'hôtel est une ancienne bâtisse coloniale avec un joli jardin. Il tranche avec les maisons du voisinage. Ma chambre est dans le sous-sol et dispose d'une petite lucarne et d'une climatisation. Ce n'est pas trop mal.

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Mercredi 1ier mai. Je ne suis pas en pleine forme avec un problème digestif. Hier, j'ai fait mon cinéma dans un grand magasin. Je cherchais à savoir si des œufs en vitrine étaient cuits ou crus. Une dizaine de personnes s'est intéressé à mon cas, mais personne ne parlait anglais. Résultat, tout le monde a bien ri, sans obtenir la réponse.

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Je ne sais pas si vous voyez comme moi, mais au milieu de ce linge sale, je vois une visage grimaçant. J'ai  la fièvre depuis trois jours. Je vois des trucs...

Je ne sais pas si vous voyez comme moi, mais au milieu de ce linge sale, je vois une visage grimaçant. J'ai la fièvre depuis trois jours. Je vois des trucs...

Dans un supermarché local, j'ai vu un terrain d'aventure pour les enfants. C'est vraiment très bien.
Dans un supermarché local, j'ai vu un terrain d'aventure pour les enfants. C'est vraiment très bien.

Dans un supermarché local, j'ai vu un terrain d'aventure pour les enfants. C'est vraiment très bien.

   Des images de Shanghai. Certaines dates de mon dernier voyage. Comme j'ai un gros rhume ou quelque chose comme ça. Je ne sors pas beaucoup.

 

Prendre le train à Shanghai. Je me suis décidé de me rendre en train à Suzhou. Pour compliquer l'affaire, le 2 mais est un jour férié en Chine, toutes les entreprises et les administration ferment. Se rendre à Suzhou, ville impériale et touristique un jour de congés est périlleux en Chine. C'est un jour d'affluence, et en Chine affluence veut dire quelque chose. Il y a du monde dans les gares, beaucoup de monde. Je me suis donc retrouvé orphelin devant la gare de Shanghai avec des gens pressés tout autour de moi. Des files d'attente étaient formée. Mais quelle file prendre ? Je ne pouvais pas savoir, tout était écrit en chinois. Je me suis adressé au service marqué  "service information", l'employé ne m'a pas aidé, il ne parlait pas l'anglais. J'ai été sauvé par des jeunes qui ont vu mon désarroi. Ils parlaient peu l'anglais, il n'était pas difficile de comprendre que je cherchais à acheter un billet pour monter dans un train. J'ai dit Suzhou et c'était bon. Ils ont fait le reste. Ils ont fait leur job jusqu'au bout en attendant avec moi l'heure de l'embarquement du train. Ici, on mon dans le train au signal. Comme l'embarquement dans un avion. Dont le haut parleur donne le top départ tout le monde se précipite pour monter dans le train, ce qui ne sert à rien parce que les places son numérotées et deux hôtesses par wagon vous accueillent. Les Chinois sont rigolos, quand ils sont seuls, ils essaient toujours de passer devant les autres. Ils font toujours ça, partout dans les gares, les hôpitaux, les commerces,  etc. Par contre, quand il s'agit de rassemblements collectifs organisés par une autorité,  ils sont parfait, ils s'exécute dans une chorégraphie parfaite comme de vrais petits soldats. Belle éducation. 

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Mon arrivée à Suzhou. La chance ne m'a pas quitté. Comme vous l'imaginez, mon arrivée à Suzhou a été aussi compliquée. J'ai retrouvé les Chinois de Shanghai à Suzhou. Des Chinois empressés, je pourrais dire angoissés de se trouver livrés à eux-mêmes dans un endroit inconnu. Une foule d'enfants, aussi, excitée et joyeuse. J'étais comme abandonné devant les machines pour acheter un billet et aucun employé à l'horizon pour m'aider. Une fois encore, j'ai été récupéré par une jeune femme, voyageant seule, qui m'a aidé pour prendre mon billet. Plus encore, elle m'a accompagné pendant trois ou quatre heures pour visiter la ville qu'elle ne connaissait pas non plus. Nous avons mangé quelque chose ensemble, avons pris le taxi ensemble, un vrai couple d'amoureux. Elle m'a accompagné jusqu'à mon hôtel. Une très belle journée.

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