Ho Chi Minh Ville et sa circulation automobile.

 Blog du 9/04/16.

       Le manque de respect des piétons. Quand on est dans un pays asiatique, et que l'on vient d'un pays européen. Le tourisme au Vietnam, c'est voir les voir et manger aussi) la culture locale, peu de gens s'attardent sur la rue. Pour moi, c'est toujours la rue qui m'intéresse. Ici à Hô Chi Minh City, la rue avec sa pollution m'a beaucoup gêné. C'est la première fois que mes yeux sont infectés par les gaz d'échappement des véhicules à moteur. Avec mes yeux gonflés ou larmoyants, je suis resté quatre jours enfermé dans ma chambre d'hôtel. Je n'ai jamais eu ça. La poumons, cela allait, ce sont les yeux qui ont été touchés.

    Aujourd'hui le 8/04, je vais mieux, mais quand même...! J'ai de quoi râler contre la circulation intense des véhicules, surtout les pétrolettes qui ne pétaradent pas exagérément,   mais qui polluent énormément. On le sait, les motos ne sont pas équipées de filtres anti-pollution, en conséquence Ho Chi Minh Ville est polluée comme ce n'est pas possible, bien plus que Bangkok d'ailleurs.

      Autre chose. La circulation des véhicules, deux roues et voitures n'est absolument pas réglementée. Ils existent quelques feux tricolores qui sont à peine observés, les passages protégés existent, mais ils sont mal marqués et ne sont jamais respectés. Il n'y a aucun policier pour régler la circulation. Il existe des passerelles, mais elle sont souvent loin. Comme les feux ne sont pas respectés, la circulation est incessante. Il faut se faufiler entre les voitures pour traverser, c'est stressant parce que dangereux. Les trottoirs sont encombrés. Comme les commerçants utilisent les trottoirs, les piétons sont contraints de marcher sur le bord de la chaussée.

     Je ne reviendrai pas à Saigon, j'ai mon compte.  Et puis à Saigon il n'y a pas grand chose à voir. Les Américains n'on rien laissé, sinon un mauvais souvenir. Les Français étaient là pour rester. Ils ont laissé quelques belles constructions, comme la poste, des hôtels de luxe, le palais du Gouverneur, et d'autres bâtiments que je n'ai pas eu la chance de visiter.

     Je regretterai la gentillesse et la délicatesse des Vietnamiens, ils ont toujours été charmants avec moi, toujours un regard bienveillant quand je les croisais dans la rue. Les Vietnamiens sont des gens très délicats et qui méritent de sortir de cette pollution urbaine qui doit leur bousiller la santé. 

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