Avec Blog du 26/03/16.

      En écrivant le nom de Hô Chi Minh, je suis 50 en arrière, avec la guerre du Viêtnam. Je n'ai pas oublié les bombardements américains, certains au napalm qui brûlaient population et végétation. Nous nous souvenons de la photo de la petite fille en pleure, brûlée, qui fuyait son village sous les bombardements au napalm. Elle va bien aujourd'hui, elle vit au Canada. Cette photo a changé la vie de son auteur Nick Ut et de la petite fille qui s'appelle Kim Phuc. Je n'aime pas trop ces photographes du guerre qui immortalisent les pire moments des guerres et pourtant, ils sont souvent utiles pour montrer ses horreurs.

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     Je parle aujourd'hui de Hô Chi Minh  (anciennement Saigon) parce je viens de prendre un billet d'avion pour Hô Chi Minh. C'est pour lundi. Les autorités du Viêtnam offrent une entrée, sans visa, aux touristes pour une période limitée. J'ai sauté sur l'occasion. Je suis allergiques aux visas. J'ai réservé un hôtel pour 11 nuits. Je passerai la première nuit à l'aéroport. J'aurai toute la matinée pour trouver mon hôtel. Je ne veux plus arriver le soir ou même dans l'après-midi. Cela prend du temps pour trouver son hôtel dans une grande ville inconnue. Je l'ai fait une fois à Bangkok en 2009, une sottise à ne pas renouveler. Les nuits dans les aéroports sont tout à fait acceptables avec un sac de couchage. Je vais chercher les particularités de Hô Chi Minh Ville avec les villes de Chine. 

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